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LA CRÉATION DE L’ASSOCIATION SOPTOM

L’association SOPTOM a été fondée par Bernard Devaux et David Stubbs en 1986. Ils sont aujourd’hui directeur et président de l’association. La SOPTOM signifie, Station d’Observation et de Protection des Tortues du Monde. Au début de l’association, elle voulait s’intéresser à une espèce emblématique en France, la tortue de Maures, qui était menacée. En 1986, un grand incendie dans les Alpes-Maritimes les extermina, il ne reste plus que des tortues Hermann en Corse et dans le Var. Puis, au fur et à mesure des années, l’association s’est intéressée à l’ensemble des tortues, terrestres et aquatiques, en France et dans le monde entier.

En 1992, l’association SOPTOM regroupait cinq membres de différents milieux, un herpétologue, des spécialistes des reptiles, des vétérinaires et d’autres scientifiques afin de compléter cette équipe au service des tortues. Deux pôles ont été créé, un pôle animalier, composé d’un responsable animalier, Nicolas Jarde, et d’un chef animalier, Stéphane Gagno. Et le second, il s’agit du pôle scientifique, avec le responsable scientifique Sébastien Caron et un chargé de mission, Jean-Marie Ballouard. Aujourd’hui, l’association comprend 800 membres et 12 000 parrains et marraines de tortues.

Les actions

De plus, l’association a étendu ses actions sur la conservation au sein du Village des tortues mais également aux recherches scientifiques. L’objectif principal de l’association SOPTOM est la protection mais également la réintroduction des tortues dans leur habitat naturel. La tortue est un animal indispensable à l’écosystème.

Pour ce faire, l’association a un rôle pédagogique, elle rappelle que la tortue est avant tout un animal sauvage et non un domestique. De plus, des actions de protection ont été organisées dans différents pays dont le Vietnam, la Guyane Française ou encore en Afrique du Sud.

Des actions de recherche sont également faites afin de récolter des informations sur l’habitat de la tortue d’Hermann. L’association s’intéresse à la population et au comportement des tortues pour optimiser ses chances de conservation. Le milieu naturel des tortues est menacé, de nombreux facteurs viennent le détruire. Un village des tortues a été ouvert à Carnoules en juin 2017, cependant un autre a été construit à Madagascar afin de préserver les tortues rayonnées et un autre également au Costa Rica. Enfin, deux projets sont en cours de réflexion, en Australie et au Maroc.

Les villages de tortues

C’est dans cette optique qu’en 1988, le village des tortues a été fondé. Après 8 ans de réflexion, et la fermeture du village de Gonfaron. Le village des tortues à Carnoules ouvre ses portes et dévoile une multitude d’espèce de chélonien. Le village de l’association SOPTOM est le site le plus visité du Var. C’est grâce à celui-ci que l’association est financée et poursuit ses études sur ces êtres vivants rares et fragiles, malgré leur impressionnante longévité. Le village se concentre sur les tortues de Maures, seules tortues terrestres de France qui étaient en voie de disparition. Menant leur quête depuis une trentaine d’années, ils les ont étudiées et protégées.

Association Soptom

Les plus du village

Au sein du village, une clinique a été construite pour pouvoir apporter des tortues blessées. Les soigneurs s’occupent d’elles et ils les relâchent à la suite de soins dans leur habitat naturel. Il est possible également de parrainer une tortue afin de les protéger et d’aider davantage l’association.

L’association SOPTOM est présente également à l’étranger. Afin de protéger les tortues Rayonnées Astrochelys et araignées Pyxis arachnoïdes, qui sont victimes de trafic. A Madagascar, un village a ouvert ses portes en avril 2005. Avec la mise en place du programme « SOKAKE ». Il a pour objectifs de soigner les tortues, de sensibiliser les villageois, de réduire le trafic de tortues mais aussi de financer les études sur le terrain.

Tandis qu’au Sénégal, le village des tortues est ouvert depuis 2001. Il regroupe 11 espèces menacées, quatre marines, cinq espèces d’eau douce et deux terrestres. La tortue emblématique du Sénégal est la Centrochelys sulcata. Cependant actuellement nous pouvons la trouver qu’au nord-est du pays à cause des destructions de son habitat naturel.

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LA CRÉATION DE L’ASSOCIATION SOPTOM

L’association SOPTOM a été fondée par Bernard Devaux et David Stubbs en 1986. Ils sont aujourd’hui directeur et président de l’association. La SOPTOM signifie, Station d’Observation et de Protection des Tortues du Monde. Au début de l’association, elle voulait s’intéresser à une espèce emblématique en France, la tortue de Maures, qui était menacée. En 1986, un grand incendie dans les Alpes-Maritimes les extermina, il ne reste plus que des tortues Hermann en Corse et dans le Var. Puis, au fur et à mesure des années, l’association s’est intéressée à l’ensemble des tortues, terrestres et aquatiques, en France et dans le monde entier.

En 1992, l’association SOPTOM regroupait cinq membres de différents milieux, un herpétologue, des spécialistes des reptiles, des vétérinaires et d’autres scientifiques afin de compléter cette équipe au service des tortues. Deux pôles ont été créé, un pôle animalier, composé d’un responsable animalier, Nicolas Jarde, et d’un chef animalier, Stéphane Gagno. Et le second, il s’agit du pôle scientifique, avec le responsable scientifique Sébastien Caron et un chargé de mission, Jean-Marie Ballouard. Aujourd’hui, l’association comprend 800 membres et 12 000 parrains et marraines de tortues.

Les actions

De plus, l’association a étendu ses actions sur la conservation au sein du Village des tortues mais également aux recherches scientifiques. L’objectif principal de l’association SOPTOM est la protection mais également la réintroduction des tortues dans leur habitat naturel. La tortue est un animal indispensable à l’écosystème.

Pour ce faire, l’association a un rôle pédagogique, elle rappelle que la tortue est avant tout un animal sauvage et non un domestique. De plus, des actions de protection ont été organisées dans différents pays dont le Vietnam, la Guyane Française ou encore en Afrique du Sud.

Des actions de recherche sont également faites afin de récolter des informations sur l’habitat de la tortue d’Hermann. L’association s’intéresse à la population et au comportement des tortues pour optimiser ses chances de conservation. Le milieu naturel des tortues est menacé, de nombreux facteurs viennent le détruire. Un village des tortues a été ouvert à Carnoules en juin 2017, cependant un autre a été construit à Madagascar afin de préserver les tortues rayonnées et un autre également au Costa Rica. Enfin, deux projets sont en cours de réflexion, en Australie et au Maroc.

Les villages de tortues

C’est dans cette optique qu’en 1988, le village des tortues a été fondé. Après 8 ans de réflexion, et la fermeture du village de Gonfaron, le village des tortues à Carnoules ouvre ses portes et dévoile une multitude d’espèce de chélonien. Le village de l’association SOPTOM est le site le plus visité du Var. C’est grâce à celui-ci que l’association est financée et poursuit ses études sur ces êtres vivants rares et fragiles, malgré leur impressionnante longévité. Le village se concentre sur les tortues de Maures, seules tortues terrestres de France qui étaient en voie de disparition. Menant leur quête depuis une trentaine d’années, ils les ont étudiées et protégées.

Au sein du village, une clinique a été construite pour pouvoir apporter des tortues blessées. Les soigneurs s’en occupent et ils les relâchent à la suite de soins dans leur habitat naturel. Il est possible également de parrainer une tortue afin de les protéger et d’aider davantage l’association.

L’association SOPTOM est présente également à l’étranger. Afin de protéger les tortues Rayonnées Astrochelys et araignées Pyxis arachnoïdes, qui sont victimes de trafic à Madagascar, un village a ouvert ses portes en avril 2005. Avec la mise en place du programme « SOKAKE ». Il a pour objectifs de soigner les tortues, de sensibiliser les villageois, de réduire le trafic de tortues mais aussi de financer les études sur le terrain.

Tandis qu’au Sénégal, le village des tortues est ouvert depuis 2001. Il regroupe 11 espèces menacées, quatre marines, cinq espèces d’eau douce et deux terrestres. La tortue emblématique du Sénégal est la Centrochelys sulcata, cependant actuellement nous pouvons la trouver qu’au nord-est du pays à cause des destructions de son habitat naturel.

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LA CRÉATION DE L’ASSOCIATION SOPTOM

L’association SOPTOM a été fondée par Bernard Devaux et David Stubbs en 1986. Ils sont aujourd’hui directeur et président de l’association. La SOPTOM signifie, Station d’Observation et de Protection des Tortues du Monde. Au début de l’association, elle voulait s’intéresser à une espèce emblématique en France, la tortue de Maures, qui était menacée. En 1986, un grand incendie dans les Alpes-Maritimes les extermina, il ne reste plus que des tortues Hermann en Corse et dans le Var. Puis, au fur et à mesure des années, l’association s’est intéressée à l’ensemble des tortues, terrestres et aquatiques, en France et dans le monde entier.

En 1992, l’association SOPTOM regroupait cinq membres de différents milieux, un herpétologue, des spécialistes des reptiles, des vétérinaires et d’autres scientifiques afin de compléter cette équipe au service des tortues. Deux pôles ont été créé, un pôle animalier, composé d’un responsable animalier, Nicolas Jarde, et d’un chef animalier, Stéphane Gagno. Et le second, il s’agit du pôle scientifique, avec le responsable scientifique Sébastien Caron et un chargé de mission, Jean-Marie Ballouard. Aujourd’hui, l’association comprend 800 membres et 12 000 parrains et marraines de tortues.

Les actions

De plus, l’association a étendu ses actions sur la conservation au sein du Village des tortues mais également aux recherches scientifiques. L’objectif principal de l’association SOPTOM est la protection mais également la réintroduction des tortues dans leur habitat naturel. La tortue est un animal indispensable à l’écosystème.

Pour ce faire, l’association a un rôle pédagogique, elle rappelle que la tortue est avant tout un animal sauvage et non un domestique. De plus, des actions de protection ont été organisées dans différents pays dont le Vietnam, la Guyane Française ou encore en Afrique du Sud.

Des actions de recherche sont également faites afin de récolter des informations sur l’habitat de la tortue d’Hermann. L’association s’intéresse à la population et au comportement des tortues pour optimiser ses chances de conservation. Le milieu naturel des tortues est menacé, de nombreux facteurs viennent le détruire. Un village des tortues a été ouvert à Carnoules en juin 2017, cependant un autre a été construit à Madagascar afin de préserver les tortues rayonnées et un autre également au Costa Rica. Enfin, deux projets sont en cours de réflexion, en Australie et au Maroc.

Les villages de tortues

C’est dans cette optique qu’en 1988, le village des tortues a été fondé. Après 8 ans de réflexion, et la fermeture du village de Gonfaron, le village des tortues à Carnoules ouvre ses portes et dévoile une multitude d’espèce de chélonien. Le village de l’association SOPTOM est le site le plus visité du Var. C’est grâce à celui-ci que l’association est financée et poursuit ses études sur ces êtres vivants rares et fragiles, malgré leur impressionnante longévité. Le village se concentre sur les tortues de Maures, seules tortues terrestres de France qui étaient en voie de disparition. Menant leur quête depuis une trentaine d’années, ils les ont étudiées et protégées.

Au sein du village, une clinique a été construite pour pouvoir apporter des tortues blessées. Les soigneurs s’en occupent et ils les relâchent à la suite de soins dans leur habitat naturel. Il est possible également de parrainer une tortue afin de les protéger et d’aider davantage l’association.

L’association SOPTOM est présente également à l’étranger. Afin de protéger les tortues Rayonnées Astrochelys et araignées Pyxis arachnoïdes, qui sont victimes de trafic à Madagascar, un village a ouvert ses portes en avril 2005. Avec la mise en place du programme « SOKAKE ». Il a pour objectifs de soigner les tortues, de sensibiliser les villageois, de réduire le trafic de tortues mais aussi de financer les études sur le terrain.

Tandis qu’au Sénégal, le village des tortues est ouvert depuis 2001. Il regroupe 11 espèces menacées, quatre marines, cinq espèces d’eau douce et deux terrestres. La tortue emblématique du Sénégal est la Centrochelys sulcata, cependant actuellement nous pouvons la trouver qu’au nord-est du pays à cause des destructions de son habitat naturel.

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